Face à des émotions, c’est le placard à gâteaux ou la tablette de chocolat qui vous réconforte ? On appelle ça l’alimentation émotionnelle. Manger ses émotions est un acte tout à fait normal et humain. Là où cela devient problématique, c’est quand vous rentrez dans un cercle vicieux et dès que vous faites face à des émotions « négatives » vous mangez trop, sans avoir faim.
La nourriture devient alors comme une sorte de doudou, parfois même comme un bouclier émotionnel qui déclenche une « faim émotionnelle » pour nous déconnecter de l’inconfort généré par les émotions afin de générer une sorte de plaisir immédiat déclenché par des hormones et neurotransmetteurs de votre cerveau qui va activer la zone de récompense (sérotonine, dopamine, etc).
Le hic, c’est que comme vous êtes en lutte permanente avec la nourriture et le besoin de contrôler votre alimentation, le cerveau lui, va jouer un rôle important en vous mettant en mode pilote automatique afin de pouvoir manger des grandes quantités et retrouver une forme d’équilibre psychologique en s’assurant que la zone de plaisir du cerveau a bien été activée.
A ce stade, on va au-delà d’un besoin physiologique de manger mais plutôt sur un besoin psycho-émotionnel comme je vous explique sur le blog.
Suite à la crise alimentaire, on connaît la suite : mauvaise estime de soi (sentiment d’être nulle), manque de confiance, dépression car les mangeurs émotionnels n’arrivent pas à contrôler la situation. Et hop, ces sentiments peuvent eux-mêmes déclencher de nouvelles compulsions alimentaires de façon automatique.
Si manger 2 morceaux de chocolat et vous sentir rassasiée vous semble impossible à ce stade et que vous aimeriez vous arrêter de manger de façon naturelle, alors rejoignez-moi sur le blog. Je vous expliquerai les mécanismes qui se cachent derrière l’alimentation émotionnelle, les causes, les conséquences, et surtout vous y trouverez plein de conseils, astuces et solutions pour vous libérer une bonne fois pour toutes de la souffrance liée à l’alimentation émotionnelle.